Elleest obligatoire pour les chaufferies en sous-sol. Cest un conduit partant de la chaufferie et débouchant à lextérieur au niveau du sol. Elle permet aux pompiers de mettre en œuvre les moyens de ventilation pour lévacuation des fumées. Sa section rectangulaire ou circulaire est de 16 dm2. Les parois du conduit sont au moins de
Unepersonne a été trouvée morte par des pompiers de Montréal tôt lundi matin dans un immeuble à appartements du quartier
Lesservitudes et les sources du droit. Les servitudes de droit privé : elles trouvent leur source dans le Code civil : articles 637 à 710 dans un titre intitulé "Des servitudes ou services fonciers".; Les servitudes peuvent aussi être prévues par des textes spéciaux, tels : le Code de l’urbanisme, le Code rural, le Code forestier
Arrêtédu 31 janvier 1986 (modifié) : protection contre l’incendie des bâtiments d’habitation. Des groupes de travail réunissent les Ministères concernés, les laboratoires d’essais, les sapeurs-pompiers, les bureaux de contrôle et toute organisation professionnelle concernée par la protection incendie ou de la construction après
Lessirènes retentissent dans l’île de la Cité. Le long des quais de Seine, plusieurs véhicules rougeâtres tentent de se frayer un chemin entre les files d’automobilistes. Sur les
Larticle L. 126-1 du code de la construction et de. l'habitation donne la possibilité aux propriétaires ou exploitants d'immeubles. à usage d'habitation d'accorder à la police et à la
Selonl’ article L 122-3 du Code des assurances, votre compagnie d’assurance couvre les dégâts occasionnés par le passage des secours, qui sont intervenus suite à un sinistre explicitement couvert par votre contrat d’assurance. En principe, votre contrat d’assurance habitation couvre les dégâts liés au passage des pompiers dans
Troispersonnes ont été tuées et une autre grièvement blessée dans un incendie qui s'est déclaré samedi pour une raison indéterminée vers 05h00 dans un immeuble du XIe arrondissement de
DRIHL– UDHL75 (unité départementale hébergement et logement) Bureau de la Lutte contre le saturnisme. Le Ponant – 5 rue Leblanc. 75911 PARIS Cedex 15. Vous pouvez également contacter le numéro suivant pour toute question relative au problème de plomb dans l'habitat : 01 82 52 51 12 (serveur vocal).
Quarantesix personnes sont mortes et des dizaines d’autres ont été blessées dans un incendie qui s’est déclaré jeudi dans un immeuble de la ville de Kaohsiung, dans le sud de Taïwan, l
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Comment Gérer les sinistres dans une Copropriété ?Parties privatives et Parties communesDégâts des eauxIncendiesVandalismeCatastrophes naturellesPour traiter un sinistre en copropriété bénévole, le syndic bénévole doit tout d’abord repérer d’où vient le problème ou prévenir le conseil syndical. Ensuite il devra contacter le professionnel concerné pour qu’il constate le ou les dégâts sur les lieux et demander un devis. Le syndic bénévole fera alors une déclaration auprès de l’assurance de la uniquement les parties privatives sont concernées Le copropriétaire concerné doit faire une déclaration de sinistre à son assureur dès la constatation du l’assurance constate que le sinistre provient des parties privatives, vous devez le notifier au propriétaire par l’occupant vous demande de faire intervenir l’assurance de la copropriété, mais qu’aucune partie commune est concernée, il faut lui envoyer un courrier pour qu’il contacte son l’origine du sinistre vient des parties communes et, ou que l’une des parties privatives ont été endommagées, l’assurance de la copropriété devra une indemnité aux personnes lésées des frais qu’elles auraient subi. Dans ce cas, vous devez envoyer un courrier aux copropriétaires pour demander l’autorisation de recevoir l’indemnité immédiate et l’origine du sinistre vient des parties communes et qu’une ou des parties privatives ont été endommagées, l’assurance de la copropriété devra une indemnité aux personnes lésées des frais qu’elles auraient subi. Vous devrez envoyer un courrier aux copropriétaires pour demander l’autorisation de recevoir l’indemnité immédiate et disposez de tous les modèles de courrier nécessaire à la gestion des sinistres dans “La mallette du Bon Syndic”Courrier sinistre parties privativesCourrier assurance de l’occupantCourrier d’acceptation d’indemnités immédiatesCourrier d’acceptation d’indemnités différéesCourrier paiement d’indemnités de sinistreCourrier déclaration de sinistreLorsque les parties communes sont concernées Il est recommandé au syndic d’informer au plus tôt le conseil syndical, afin que celui-ci vérifie si le sinistre relève bien de l’assurance de la syndic bénévole doit remplir un constat amiable* de dégât à son assureur joint d’une déclaration de sinistre modèle de déclaration dans “La mallette du Bon Syndic“* Le constat amiable est à demander à l’assureurLe constat doit rassembler tous les renseignements sur le sinistre circonstances ; nature des dommages ; coordonnées des assureurs des personnes en cause…Il doit être envoyé à l’assureur en courrier recommandé dans un délai de cinq jours à compter de la constatation du des eaux dans une Copropriété Le dégât des eaux dans une copropriété est l’un des sinistres les plus fréquents. Il peut avoir de nombreuses conséquences sur l’immobilier et sur le mobilier ruptures, débordements, fuites accidentelles de canalisations non souterraines ou d’appareils à effet d’eau, infiltrations à travers les toitures, gel des canalisations intérieures, débordements ou versements de récipients. L’assurance “dégâts des eaux” est obligatoire dans les copropriétés , aussi bien pour les parties privatives que pour les parties communes. Pour les occupants d’un logement, l’assurance multirisques-habitation couvre souvent les dégâts des eaux. Mais attention, certaines polices d’assurance ne couvent pas tous les dans une CopropriétéEn cas de vol ou de vandalisme dans une copropriété, le syndic bénévole doit déposer plainte aux autorités de police dans les 48 heures, et contacter le professionnel concerné afin d’effectuer une déclaration de sinistre à l’assurance de la dans une CopropriétéL’incendie, la foudre, l’explosion, y compris les dommages provoqués par la fumée et l’intervention des pompiers, doivent être notifiés à l’assureur. Concernant les dommages électriques, ils sont pris en charge sous condition qu’ils soient causés aux câbles électriques non naturelles dans une CopropriétéSi la copropriété est assurée contre l’incendie, elle bénéficie automatiquement d’une garantie “Catastrophes naturelles” Tempête, grêle, neige sur les toitures….Art. L. 122-7 Code des assurances, loi du 25 juin 1990. Sont exclus les dommages causés aux volets, persiennes et contrat d’assurance de biens couvrent les dommages matériels liés aux catastrophes naturelles inondation, tremblement de terre, avalanche… et aux actes de terrorisme loi du 13 juillet 1982.Comment Souscrire un Contrat d’Assurance Copropriété ?Pour souscrire un contrat d’assurance vous devez inscrire à l’ordre du jour de l’assemblée générale une résolution Assurance Modèle de Résolution AssuranceL’assemblée générale conformément aux dispositions de l’article … du règlement de copropriété prend acte que le syndic a souscrit une police d’assurances multirisques auprès de la compagnie ………………………………………. représentée par ………………………………………. moyennant une prime de …………… …. pour la période du … au … et décide de souscrire les garanties complémentaires suivantes ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………Ont voté contre M. …= … millièmesM. …= … millièmesM. …= … millièmesOnt voté pour En vertu de quoi cette résolution est – adoptée dans les conditions de majorité de l’article 24– repoussée dans les conditions de majorité de l’article 24Précisions Cette résolution relève de la majorité de l’article 24 de la Loi. Pour le calcul de la majorité de l’article 24 seules les voix exprimées des copropriétaires présents ou représentés seront prises en considération. Seront donc exclues du décompte des votes les voix des copropriétaires abstentionnistes et de ceux qui n’ont pas pris part au responsabilité du syndic pourrait être recherchée à défaut d’assurance ou si la police présentait des garanties insuffisantes. Au cas où le syndic aurait un intérêt dans la souscription du contrat agent, courtier, etc., il devra compléter la présente résolution conformément au projet de résolution de ” convention entre le syndicat et le syndic article 39 du décret.
Ecrit par Marc Van de Velde Ingénierie du risque, AXA XL 500 000 nouveaux panneaux solaires sont installés chaque jour ; un chiffre qui ne surprend pas lorsque l’on sait que leur coût chute de 10% par an. La quantité d’électricité générée par ces installations a également augmenté de manière exponentielle ces dix dernières années. On s’attend à ce que cette tendance continue à s’accentuer et, selon certains experts, l’énergie solaire représentera 20% de la production d’énergie mondiale d’ici à 2027. Le développement rapide de cette source d’énergie –qui n’émet pas de gaz à effet de serre– est une excellente nouvelle pour la planète. En revanche, la prolifération croissante des panneaux solaires va de pair avec l’introduction de nouveaux risques, parfois difficiles à gérer. Parmi ceux-ci, le risque que ces panneaux représentent, pour les pompiers, lorsqu’un immeuble équipé prend feu. Des défis inattendus Lutter contre le feu est, par nature, dangereux –et tenter d’éteindre un incendie dans un bâtiment équipé de panneaux solaires l’est encore davantage. Les panneaux solaires, aujourd’hui, tendent à être très solides. La plupart d’entre eux sont conçus pour résister aux tempêtes les plus puissantes, ce qui empêche les pompiers d’utiliser une technique souvent employée pour combattre un incendie, qui consiste à faire un trou dans la toiture du bâtiment pour permettre à la chaleur et à la fumée de s’évacuer. Par ailleurs, parce que les nouvelles générations de panneaux solaires sont conçus pour être discrets, voire invisibles, il arrive que les pompiers ne se rendent compte qu’un bâtiment est équipé qu’une fois sur le toit. Et les revêtements utilisés pour limiter l’accumulation de poussière rendent ces installations glissantes, même lorsqu’elles sont sèches. Enfin, lorsque les panneaux ne sont pas directement intégrés à la toiture, il peut y avoir un vide entre ces derniers et le toit. Cela peut devenir un problème lorsque des feuilles s’accumulent sous le panneau, créant ainsi une source de combustion. Lorsque cela se produit, une petite étincelle –ou une grande, causée par un éclair– peut entraîner un incendie. Couper le courant Un autre défi, qui est potentiellement plus complexe, est la dé-énergisation » de ces systèmes. L’une des premières actions que prennent les pompiers quand ils combattent un incendie est de couper le courant électrique afin d’éviter tout risque d’électrocution lorsqu’ils utilisent de l’eau. Dans le cadre d’immeubles équipés d’installations solaires, cela peut s’avérer difficile. Ces dernières ne peuvent en effet pas toujours être facilement éteintes –surtout lorsqu’il s’agit de modèles anciens. Quand bien même ce serait le cas, éteindre » un panneau solaire ne fait que stopper le courant, du panneau vers le système électrique du bâtiment ; le panneau lui-même peut continuer à produire de l’énergie si le feu survient pendant la journée. Et pour compliquer le tout, les éclairages utilisés par certains services d’urgence peuvent être suffisamment lumineux pour électrifier un panneau photovoltaïque. Les pompiers doivent donc être prêts à employer des techniques similaires à celles utilisées pour combattre des feux électriques et être conscients du risque d’électrocution. Enfin, les panneaux solaires sont souvent installés à l’issue de la construction, et il est rare que la toiture ait été pensée pour supporter ce poids supplémentaire de manière permanente. Ce n’est pas nécessairement un problème dans des circonstances normales, puisque que l’ingénierie d’un bâtiment prend en compte, par exemple, une potentielle charge liée à des chutes de neige importantes. En revanche, lorsque la structure de l’édifice est affaiblie par le feu, le poids d’un système d’énergie solaire peut causer, ou précipiter, son effondrement. Il est donc plus risqué, dans ces conditions, de s’aventurer dans le bâtiment à la recherche de personnes potentiellement prisonnières de l’incendie. Éteindre un panneau solaire ne fait que stopper le courant, du panneau vers le système électrique du bâtiment ; le panneau lui-même peut continuer à produire de l’énergie. Ces problématiques ajoutent un niveau de complexité au travail des pompiers qui doivent analyser la situation rapidement et intervenir tout aussi prestement. Codes de sécurité et formation Les brigades de pompiers sont de plus en plus conscientes de ces risques et prennent des dispositions pour y répondre. Aux États-Unis, par exemple, le Department of Homeland Security soutient un projet visant à identifier et comprendre les risques, pour les pompiers, associés aux bâtiments recouverts de panneaux solaires. Les résultats de cette initiative ont été incorporés aux éditions les plus récentes des codes de la NFPA l’association nationale de protection contre les incendies ainsi qu’à celles de l’International Code Council. Ces nouveaux standards recommandent que les panneaux solaires soient suffisamment écartés pour permettre aux pompiers de se déplacer entre ceux-ci. Ils exigent également que les panneaux soient équipés de mécanismes d’extinction et d’indications précisant où ces installations sont situées. Ces recommandations devraient aider à minimiser ces risques sur le long terme, du moins dans les juridictions les ayant adoptées ; de nombreux états/villes continuent de se référer à d’anciennes versions de ces codes. Et même lorsqu’une collectivité les a adoptées, les panneaux solaires et leur installation peuvent varier d’une région à l’autre. Des recherches ont été menées par l’organisme londonien Microgeneration Certification Scheme MCS et ont mis en évidence le fait que les panneaux solaires réagissent radicalement différemment » au feu, selon les modèles et leur ancienneté. Pour certains, la surface en verre peut éclater, pour d’autres, les matériaux internes peuvent s’enflammer ; dans les deux cas, il s’agit de problématiques supplémentaires pour les pompiers. Les différents travaux de recherche réalisés sur le sujet mettent en lumière l’importance, pour les pompiers, de Se renseigner sur le type d’installations les plus communes dans leur zone d’intervention Être force de proposition et de recommandation auprès des projets de construction dans le cadre desquels des panneaux photoélectriques vont être installés Participer à des formations spécialisées sur les différents risques associés aux panneaux solaires auxquels ils pourraient être confrontés Pour les entreprises et les propriétaires d’immeubles équipés, avoir un plan d’urgence détaillé est essentiel, afin qu’occupants et pompiers sachent quoi faire en cas d’incendie. Il est également important d’informer les services d’urgences locaux de la nature des installations et des procédures de dé-électrification » du système. Des instructions claires doivent être affichées, si possible, dans des emplacements évidents. Marc Van de Velde est un ingénieur préventionniste chez GAPS, l’unité d’XL Catlin dédiée à l’ingénierie des risques de dommages. Il peut être contacté à
code des pompiers pour entrer dans un immeuble